Lors de la séance plénière de l’Assemblée, le Premier ministre a abordé plusieurs sujets, notamment la situation de 312 policiers adjoint volontaire récemment radiés.
Ousmane Sonko a déclaré : « La plupart de ces policiers licenciés ont été recrutés pour des raisons politiques. Il y avait même des cas où des individus incapables d’écrire leur propre nom faisaient partie de notre police, ainsi que d’autres situations étranges. »
Il a précisé que, selon lui, la décision de les licencier a été proposée par la hiérarchie, ce qui, selon le Premier ministre, n’a rien de politique. Le Premier ministre a ajouté que si la hiérarchie avait identifié des policiers conformes à la charte, leur proposition aurait été validée.
« Actuellement, certains exploitent cette situation, pensant qu’il s’agit d’un secteur sensible, alors que ce sont des personnes formées qui pourraient, à l’avenir, se retrouver en conflit avec les forces de l’ordre. » M. Sonko a également exprimé son inquiétude en affirmant qu’il existe des individus qui prient chaque jour pour que le pays se déstabilise, en affirmant qu’il y a des problèmes à résoudre.
Mangoné KA.
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